Lors de la tempête de cerveaux, le sort du figuier a été vu de long en large plusieurs fois. L’accès au terrain étant trop étroit, il a fallut se rendre à l’évidence, le figuier devait disparaitre. Son triste sort en fut jeté en une journée. Je t’ai défendu du mieux que j’ai pu mais il s’agit de la construction de notre maison et je suis certain que tu comprends les choses. Alors ce matin je me suis attelé à ne pas trop te faire souffrir. Je tacherais de garder quelques bonnes racines pour tenter de te replanter ailleurs dans le terrain. Je sais que tu ne m’en veut pas, ce n’est pas un adieu, ce n’est qu’un au revoir…
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