A votre avis, quel est le rêve numéro 1 des français ?

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« 3 raisons de vivre dans une maison de Hobbit ».

Eh oui, devenir propriétaire, c’est encore aujourd’hui le rêve numéro 1 des Français. Un rêve qui symbolise la liberté, la sécurité, la transmission.

Pour accéder à ce rêve, les français ont 3 possibilités :

1- Hériter d’une maison, ou acheter une maison déjà construite,

2- Faire construire la maison de leurs rêves,

3- Construire eux-mêmes

1- Héritage ou achat

Hériter d’une maison ou acheter une maison déjà construite est sans doute la solution la plus simple et la plus rapide. Il suffit de consulter les petites annonces de sa région, ou d’en parler autour de soi, le bouche à oreille fonctionne toujours et on aura l’embarras du choix, car il y a pléthore de maisons à vendre : anciennes en pierres, en parpaings, ou en bois. A rénover ou déjà construites, avec des poutres apparentes, ou contemporaines, avec une grande cuisine, une terrasse, un jacuzzi, un grand jardin, avec la vue sur le paysage ou en ville…

Tout est bien sur une histoire de disponibilités, de choix et de coût. Mais bien souvent, il faut s’adapter à une maison qui ne nous correspond pas. Et adapter cette maison à nos envies a un coût… et parfois, ce n’est tout simplement pas possible.

Parfois on devra aussi mettre la main à la patte, en rénovant la maison des parents ou d’un inconnu, en y apportant notre touche personnelle, ou parce que l’on a envie d’avoir la cuisine qui donne la vue sur le paysage. Et parfois ce ne sera qu’un coup de peinture. Mais dans la majeure partie des cas, on devra s’adapter à cette maison. Je veux dire que cette maison dont on hérite ou que l’on va acheter n’est pas du tout au départ adaptée à nos besoins ou nos envies. Si on rêvait d’une cuisine ouverte et que la cuisine est séparée, on devra casser un mur, si les chambres sont à l’étage et que l’on souhaitait une chambre en rez-de-chaussée, il faudra en créer une…

2- Faire construire

Au contraire de la maison déjà construite, faire construire, c’est choisir un modèle existant, puis le personnaliser. On discute avec un constructeur, on modifie un plan, on suit le chantier. C’est plus coûteux, mais on peut s’approcher de la maison idéale… à condition d’être bien accompagné.

Au départ, cela nécessite de trouver un promoteur ou un constructeur avec un modèle ou un plan qui nous séduit. Pas de problème car ils ont bien souvent de nombreux catalogues de plans. Ici on pourra peut-être avoir notre cuisine ouverte sur la salle à manger ou avec vue sur le paysage. Pour cela, il suffira de concevoir son plan avec son constructeur, ou chez soi avec un logiciel 3D.

On aura tout intérêt à bien suivre son chantier, à passer régulièrement voir les avancées, pour au cas où, rectifier le tir, si quelque chose ne va pas. Une bonne entente avec son promoteur ou constructeur est bien sur nécessaire.

3- l’Auto-Construction

Dans notre dernier cas, construire soi-même, est bien souvent un rêve… et un vrai défi. Il faut du temps, des compétences, ou au moins de bons conseils. On croit souvent faire des économies, mais on y passe parfois des années, car on ne s’improvise pas maçon, charpentier, ou couvreur, du jour au lendemain, sans compter l’électricité ou la plomberie.

Si on est un bon bricoleur, on sait déjà tout ça, mais si on y connait rien, la douche peut-être sévère. Dans ce cas, il sera peut-être intéressant de faire intervenir des artisans ou professionnels à des étapes clés, pour l’électricité par exemple, la toiture ou la plomberie. On y gagnera toujours car cela évitera des erreurs que l’on aurait eu à payer plus tard.

Construire soi-même permet aussi de construire ce que l’on veut vraiment, la forme générale extérieure, la connexion entre les pièces, le matériau, l’orientation… Même si on pense peut-être à tord, qu’en construisant soi-même on va pouvoir économiser sur la main d’oeuvre, c’est vrai sur le papier, mais au détriment du temps que l’on va y passer, et parce que l’on est mentalement piégé dans notre imaginaire, constitué de maisons avec 3 chambres, d’une grande salle de bain avec baignoire, d’un grenier aménageable… et on construit bien souvent plus grand que ce que l’on a réellement besoin.

L’immobilier reste votre meilleur investissement

Malgré cela, l’immobilier reste un excellent investissement, qui pourra se transmettre à nos enfants, ou nous permettre de faire une plus-value dans le temps, même si pour cela, il aura bien sur fallut pouvoir investir. Car oui le financement reste le nerf de la guerre. Certains auront du cash, par héritage ou parce qu’ils auront bien travaillés, mais la plupart devront passer par un crédit bancaire et s’endetter sur 20 ou 30 ans…

4ème voie ?

Et s’il existait une 4ème voie ? Une alternative, plus accessible, plus cohérente avec notre époque. Si on pouvait construire une maison à notre image, adaptée à nos besoins réels… avec peu de moyens ?

Qui plus est, une maison qui ne nécessiterait pas de chauffage ou très peu, une maison qui pourrait être notre meilleur investissement en la louant en maison atypique ou insolite, je veux bien sur parler des maisons bulles semi-enterrées.

Construire une maison bulle semi-enterrée ou GreenPod, c’est :

• Construire moins grand, mais plus fonctionnel,
• Construire soi-même, sans être maçon,
• Construire avec la terre, pour mieux vivre avec elle,

En effet, construire une maison bulle semi-enterrée ou GreenPod, c’est sortir de notre imaginaire de maisons cubiques, de maisons en parpaings, en briques, en paille ou en bois, sortir de l’agressivité des parois et angles droits, sortir du crédit aussi. C’est construire une maison de rêve où tout est possible, en réalisant de grandes économies. C’est construire moins grand car on s’est rendu compte qu’on avait peut-être pas besoin de 3 chambres ou d’aménager son grenier.

Le GreenPod, c’est une mini maison bulle semi-enterrée. Compacte, bioclimatique, autonome, qui se construit avec une seule technique : le voile de béton. Semi-enterrée ou recouverte de terre, elle capte la chaleur du soleil, la conserve l’hiver, et reste fraîche l’été.

Pourquoi ou comment est-ce possible ?

Que l’on rénove ou construise une maison ancienne ou neuve, on emploie des matériaux du commerce, qui ont notoirement augmentés depuis la crise sanitaire, que ce soit les parpaings, les isolants, le bois, le carrelage, le mobilier, les huisseries…

Alors que dans une maison bulle, on emploie un matériau principal, le béton, ou voile de béton. Mais je vous entends déjà : ‘Mais le béton, c’est pas écologique Philippe ?’ Et vous avez raison de vous poser la question. Mais regardons les choses en face : si ce matériau permet de construire facilement, sans chauffage, sans climatisation, sans gaspillage, et que cette maison est réellement adaptée à nos vrais besoins, fonctionnelle et agréable à vivre, qu’elle nous chauffe gratuitement l’hiver et nous rafraichit l’été, alors… peut-être qu’il est plus vertueux qu’on ne le croit.

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