Si comme moi vous avez aimé les musiques de films années 60 comme Ne nous fâchons pas de George Lautner en 1966 ou celle du Cerveau, réalisé par Gérard Oury en 1969, vous aimerez peut être celle du groupe Towerbrown car elle rappelle vraiment la musique des années 60.
J’adore la musique des années 60
L’histoire de Towerbrown
L’histoire de ce groupe commence en 2009. 4 garçons Grenoblois, se retrouvent pour rallumer la flamme de la musique des années 60, cette époque bénit qu’ils n’ont d’ailleurs pas connu, mais qui les attire tant. Ils partent de suite en studio afin d’enregistrer 6 compositions qui feront l’identité du groupe.
Quelles sont leurs influences ?
Résolument orienté 60’s, les influences n’en sont pas moins nombreuses. En effet c’est autant dans le Rhythm n’ Blues ou les groupes anglais, que dans la Soul ou le garage rock américain que le groupe se retrouve.
Démarrage 2010
En Novembre 2010, Towerbrown sort son 1er EP « Let’s Paint It Brown« , un vinyl offrant la parfaite bande son du phénomene Swingin’ London, dont les 300 copies sont écoulées en 3 mois seulement. En effet, leur musique aux sonorités british beat/Rhythm n’ Blues tintées d’orgue Hammond, rappelant des groupes comme Them, The Spencer Davis Group, The Artwoods, Brian Auger, The Small Faces… est tout de suite appréciée par une grande partie de la scène Garage/Mod/Soul Européenne, ce qui leur permet de jouer rapidement à travers toute la France en partageant l’affiche avec des groupes comme les Morlocks, Messer Chups, Alice Russel, The Love Me Nots, Thee Oh Sees, The A-Bones, DC Fontana, The Cynics…
En Mai 2011
Le groupe sort son deuxième EP vinyl « I Wanna Know (What You’re Gonna Do)« . Un 45t 4 titres, qui offre la parfaite suite au précédent EP « Let’s Paint It Brown » et qui connaitra le même succes.
En septembre 2013
Le groupe qui se compose de Alexandre Besson, Frederic Roux-Fouillet, Olivier Lefebvre et Yann Cracker, se prépare maintenant a sortir son 1er album, tout en continuant de propager la bonne parole du Rhythm n’ Blues sur les scènes de France et de Navarre. Pour l’occasion, Yann Cracker m’avait contacté il y a plusieurs mois pour me demander si je connaissais une maison bulle qui aurait acceptée leur présence pour une série de photos pour leur album. Celle de Michèle et Alain était la mieux placée puisque Michèle est musicienne et que la maison a vu naitre un DJ de renommée mondiale en la personne d’Agoria.
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