Denis permaculteur

Vendredi 13 mai 2016 il faisait un temps pourri et comme Denis passait, nous en avons profité pour planter les tomates et les salades que mon frère William m’avait donné. Vu que la terre est argileuse et que Denis s’intéresse de plus en plus à la permaculture, il a mit a profit ses connaissances sur mon terrain. Avec Denis le permaculteur nous avons donc creusé des trous dans lesquels nous avons mis des orties (ça pique même a travers les gants), puis du crottin de cheval prit a Vahiné en bas, et du terreau. A votre avis, aurons nous des tomates ? Résultat en juillet / aout…

Commentaires

  1. Bonjour,
    Bravo pour les arrondis. En effet, la nature ne fait pas d’angles droits. Bravo aussi pour la terre des taupes et les orties dans les trous de plantations.

    Mais…jamais de traitement en permaculture!
    Il suffit de mettre un peu de cendres au pied des tomates, aussi les œillets d’inde et/ou les tagettes les protègent, des coquilles d’œufs ou de la lave concassée en cercle autour des salades, (que les limaces ne franchissent pas).
    Ensuite toujours couvrir la terre (mulch de paille, herbe coupée, orties, consoude, feuilles, bois, écorces etc. sur toute la surface même non plantée, sur un minimum de 10 cm de hauteur..
    Cela empêche la plupart des mauvaises herbes de proliférer et garde la terre humide et cela protège du soleil et aide les vers et autres insectes à travailler la terre pour nous.
    Imiter la nature. Elle ne laisse jamais un seul nu.
    Aussi, si l’on évite d’enlever les gourmands aux tomates (blessures) il y aura plus de tomates en abondance.
    En perma. le non-agir favorise le travail de la nature et nous donne beaucoup moins de travail au potager, sauf le plaisir de créer de la beauté.
    Excusez-moi mais si cela peut servir…….

    Je vous embrasse.
    Danièle

      • Annemasse en Haute-Savoie. C’est loin et de plus, je ne veux de pas empiéter sur ce que fait Denis qui le fait avec cœur. Sans être une grande spécialiste, mais seulement une passionnée. avec mon potager de 130 m2 à 18 km de chez moi. La permaculture est bien sûr plus vaste, c’est entre autres un art de vivre en respectant les humains et en prenant soin de la terre, de sa faune et surtout en diversifiant et mélangeant les plantes les fleurs, évitant ainsi la monoculture qui appauvrit la terre. C’est un tout petit résumé mais je ne veux pas vous prendre trop de temps et de place.
        Denis doit connaître tout cela mieux que moi.
        Merci pour ce que vous faites et qui vous êtes.
        Amitiés
        Danièle

        • Vos observations sur ma première intervention de plantation chez Philippe sont totalement justifiées. J’essaye de m’approcher d’une culture plaisir et respectueuse de la nature. J’ai jusque là toujours évité de traiter mes plans de tomates. Je l’ai fait l’année dernière, une seule fois parce que j’avais été déçu du résultat de l’année précédente. J’apprecie vos précieux conseils et vous assure que cette année sur mon terrain, il n’y aura pas de traitement. Chez Philippe, les plans de tomate, lui ont été offerts par son frère et j’ai suivi ses consignes de traitement en voulant au maximun un résultat pour sa première récolte.

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